Ce matin une randonnée à 8 heures est organisée par Alain Labelle. Pendant une heure un groupe s’en va découvrir les plateaux qui surplombent la commune.
De retour en salle, nous travaillons sur les éléments de discours, chaque projet devant se raccrocher au récit métaphorique de la noix établi hier.
Toute la matinée est studieuse. Nous la consacrons à définir les différentes séquences de chaque projet, ces séquences sont parfois des axes, d’autres fois des zones. Nous peaufinons les termes employés ; certaines idées méritent une mise en perspective, d’autres doivent être simplifiées. Bref, c’est une phase un peu difficile pour les étudiants parce que les encadrants n’hésitent pas à poser des problèmes, bousculer les acquis. L’ensemble des projets ont un fort caractère urbain, il est en effet difficile à ce stade de travailler le détail.
L’après-midi, les discours sont calés, le canevas d’exécution se met en place dans chaque groupe. Un maximum de 10 diapos est prévu pour la présentation de demain matin. On nous confirme que la projection publique se fera dans notre salle de travail. Elle est un peu petite, cela ne simplifie pas la préparation.
Il reste encore beaucoup d’idées à représenter, de plans de masse à compléter, de perspective à dessiner.
Tout le monde travaille avec acharnement et solidarité, même si certains étudiants ne tiennent pas une formidable forme.
Nous finissons tard, certains encadrants commencent à préparer la salle pour demain matin.
Il est au moins une heure quand tout le monde va se coucher.